Une entreprise formatrice

Une entreprise formatrice

Nous formons des apprenti.e.s
depuis plus de 30 ans

 

Notre credo, depuis les débuts du cabinet en 1989, est de former une relève apte à s’épanouir et à évoluer dans le milieu dentaire. Plus de 20 apprenti.e.s ont effectué un CFC au sein de notre établissement, c’est un challenge autant qu’une passion que de transmettre ce savoir à d’autres.

Actuellement, 3 apprenties effectuent une formation au sein de notre cabinet. Il s’agit de Manon Wider, apprentie de 3ème année, Ilona Bonvin, apprentie de 2ème année et Candice Knieling qui vient de commencer son parcours. Elles officient toutes en tant qu’assistantes dentaire.

La prise en charge d’assistant.e.s dentaires demande une organisation accrue que ce soit en termes de suivi pratique ou de gestion administrative. Nous répondons à une forte demande et notre engagement d’entreprise formatrice obéit aux besoins de relève de notre profession tout en soulignant notre responsabilité sociale.

Cette formation, exigeante pour les apprenti.e.s, est également enrichissante pour elles autant que pour le cabinet en entier. La formation qui se déroule sur 3 ans est au bénéfice d’un CFC qui se découpe comme suit :

L’apprentie passe 4 jours par semaine dans les locaux du cabinet et 1 jour en cours chaque semaine.

Lors de ces jours de cours, l’apprenti.e passera plus de 20% de son temps à la mise en œuvre de soins généraux et à l’assistance de soins spécifiques. Environ 15% de son temps à se former sur des spécificités médicales telles que les outils de diagnostic par imagerie ou l’apprentissage des prescriptions de mesures d’hygiène. Un aspect social est également mis en avant avec 20% de temps dédié à la prise en charge des patients. Le reste de la formation est dédié aux cours de culture générale.

Lors de ces 4 jours au cabinet, les apprenti.e.s mettent leurs capacités théoriques en pratique directement auprès du patient. Dès que possible, il est important pour les apprenti.e.s de sentir la confiance de son employeur. Nous les responsabilisons et leur permettons d’effectuer des tâches importantes pour qu’ils soient prêts, dès la remise de leurs certificats à entrer pleinement dans le monde du travail.

Notre apport pour les apprenti.e.s est multiple. Nous les aidons tant administrativement en leur apprenant la gestion propre au cabinet que techniquement par la transmission de notre savoir pour parfaire leurs capacités théoriques et apporter notre expérience dans les situations délicates qu’ils seront amenés à traverser. Nous sommes également présents pour les appuyer et les motiver durant toutes ces années et finalement se réjouir de leurs réussites.

Si vous êtes ou connaissez quelqu’un intéressé par cette formation et carrière professionnelle, vous trouverez plus d'informations sur :

amad-valais.ch

orientation.ch

Nous répondons également à vos questions au : 027 322 64 55

COVID-19

COVID-19

Coronavirus – mise à jour du 21 avril 2020

Mesdames, messieurs,

COVID-19 : plan de protection détaillé de l’Association des médecins-dentistes cantonaux de Suisse (AMDCS) et de la SSO

Les cabinets dentaires vont rouvrir à partir du 27 avril. Tous les soins bucco-dentaires seront de nouveau autorisés. La SSO a déjà annoncé que, en collaboration avec l’Association des médecins-dentistes cantonaux de Suisse (AMDCS), elle a élaboré un plan de protection détaillé qui permet aux cabinets dentaires de reprendre leurs activités cliniques. Aujourd’hui, le Comité de la SSO a décidé de porter à la connaissance de ses membres le plan de protection AMDCS/SSO. Selon les informations dont nous disposions jusqu’ici, le plan de protection devait être formellement approuvé par l’Office fédéral de la santé publique, ce qui n’a pas été confirmé lors de la conférence de presse d’aujourd’hui. Plusieurs organisations professionnelles ont d’ailleurs critiqué le manque de clarté avec laquelle les autorités fédérales ont communiqué sur ce point. Aujourd’hui, nous sommes en mesure d’affirmer que chaque propriétaire sera personnellement responsable de la mise en œuvre scrupuleuse des mesures du plan de protection dans son cabinet dentaire. Il devra en outre aussi se conformer aux dispositions édictées par les autorités cantonales. Il veillera aussi à informer soigneusement tous les collaborateurs de son cabinet au sujet du plan de protection présenté ici. Seules des explications approfondies permettront de garantir que le plan de protection sera bien accueilli et appliqué et que les patients seront adéquatement informés. Il est encore à noter que les mesures introduites par le plan de protection complètent les directives générales de la SSO contraignantes en matière d’hygiène qui constituent la base de l’hygiène au cabinet dentaire.
Nous informerons nos membres immédiatement de tout changement concernant le plan de protection. La SSO se félicite de savoir que la population suisse peut de nouveau bénéficier de soins bucco-dentaires axés sur prophylaxie comme elle en avait l’habitude.

Parler de la santé autrement

Parler de la santé autrement

Une nouvelle gestion de la santé ?

Bertrand Kiefer et Michael Balavoine ont écrit dans leur éditorial du magazine planète santé d’octobre 2019 des réflexions très intéressantes sur les nouvelles perspectives en matière de gestion de la santé. Il s’agit de donner aux gens les moyens de les rendre autonomes, en les informant et en leur donnant des compétences de santé. C’est ce que l’on entend par empowerment.
Or, c’est exactement ce que la médecine dentaire moderne et en Suisse prône depuis de nombreuses années : l’information sur les bonnes habitudes et les risques en matière de santé bucco-dentaire est donnée déjà dans les écoles primaires, puis est renforcée tout au long de la vie par les médecins-dentistes, les hygiénistes et les assistantes en prophylaxie. Le patient devient co-thérapeute, il peut agir directement sur sa santé en adoptant les bonnes habitudes : il devient conscient des multiples déterminants de sa santé et acquière les compétences nécessaires.
Les mesures destinées au maintien de la santé ou à la résolution d’un problème sont adaptées à chacun et à chaque situation. La santé n’est plus définie comme un état de complet bien-être, un absolu, mais plutôt comme «la capacité d’une personne à s’intégrer à son environnement, évoluer avec lui, exister librement dans un écosystème corporel et social» (in planète santé #35, EDITO).
C’est justement la clé de voûte de la relation thérapeutique que nous avons définie au sein de notre cabinet dentaire : lors des rendez-vous de contrôle périodique, nos médecins-dentistes, nos hygiénistes dentaires et nos assistantes en prophylaxie vous conseillent judicieusement.

Une autre approche de l’orthodontie

Une autre approche de l’orthodontie

Le système DAMON

Parmi les différentes manières d’appareiller les patients, jeunes ou adultes, le système DAMON se distingue par son concept qui se rapproche le plus de la biologie : nous avons choisi ce système parce qu’il conjugue de façon douce fils et brackets (petits dispositifs collés sur les dents et permettant le travail du fil orthodontique) en minimisant les frictions et les pressions , en réduisant les forces mécaniques appliquées sur les structures osseuses et en augmentant le confort et la rapidité du traitement. Du fait de la conception particulièrement intelligente des brackets auto-ligaturants, du système Damon, le port de ligatures n’est plus nécessaire ce qui rend le maintien de l’hygiène dentaire moins ardu et plus performant. Il existe des brackets métalliques ou céramiques, pour les cas où le rendu esthétique pendant le traitement prime.
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Le bio est-il sans danger ?

Le bio est-il sans danger ?

Bio ne veut pas dire sans sucres

De nombreux patients et parents se croient protégés par le label « bio ». ‘’ Je ne comprends pas pourquoi ma fille fait des caries, je ne lui donne pourtant que des jus de fruits bio !’’ : telle est la réflexion qu’il n’est pas rare d’entendre dans nos cabinets.
Il n’est pas question ici de dénigrer les vertus de la consommation de produits issus de l’agriculture biologique. Il n’en demeure pas moins, que les sucres et les acides, tout bio soient-ils, sont les ennemis des dents : les hydrates de carbone ou glucides peuvent être classés en sucres simples (mono- et di-saccharides) et sucres complexes (oligo- et poly-saccharides) sous diverses formes. Les mono- et di- saccharides sont très rapidement métabolisés (transformés) en acides par les bactéries de la plaque dentaire. Les oligo – et poly-saccharides demandent plus de temps mais, comme il sont plus collants, ils attaquent tout autant rapidement les tissus durs de la dent.
On retrouve ces sucres cariogènes sous forme de sucres naturels comme le fructose présent dans les fruits, le galactose présent dans les laitages (y c. dans le lait maternel) ou le dextrose présent dans le raisin. Il y a aussi, et de façon hélas prépondérante, les sucres industriels, comme le saccharose, présents dans pratiquement tous les produits alimentaires industriels.
Le principal danger ne vient pas de la consommation ponctuelle de sucre mais du grignotage ou du « sirotage » permanent d’aliments cariogènes. De plus, la bactérie ne fera malheureusement aucune différence entre un glucide provenant de l’agriculture « bio » et un glucide produit par l’industrie alimentaire.
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